Les hormones produites par le sport et leur impact sur le corps

Endorphine, Hormone du sport aux 5 effets anti-stress
Il existe beaucoup de proposition de vente pour des compléments alimentaires en contenant sur Internet. Sa production est au plus haut dans l’enfance et l’adolescence et décline avec l’âge. La sécrétion endogène diminue avec l’âge, mais garde une meilleure réponse à l’effort chez le sujet âgé entraîné chez qui elle participe à la stimulation de la neurogenèse cérébrale et à la prévention du vieillissement cognitif.
En cas de suspicion clinique d’une dysthyroïdie, il faut savoir répéter les dosages hormonaux si les anomalies sont frustes. Les modalités du traitement et le maintien de l’activité physique doivent être discutés avec l’endocrinologue et le cardiologue. Les résultats de cette étude montrent que l’exercice effectué au seuil anaérobie (70 % de la fréquence cardiaque maximale, taux de lactate 4,59 ± 1,75 mmol/l) provoque les changements les plus importants dans la quantité de toutes les valeurs hormonales. Alors que le taux de T4, fT4 et TSH a continué d’augmenter taux de testostérone homme (click to investigate) à 90 % de la fréquence cardiaque maximale, le taux de T3 et fT3 a commencé à baisser. Les résultats montrent que les valeurs de la TSH s’accroissent régulièrement avec l’augmentation de l’intensité de l’effort.
Lorsque vous entamez la deuxième semaine de votre plaquette, vos niveaux d’hormones augmentent, et vous commencez à mettre plus de temps pour récupérer. Il faut donc veiller à faire des pauses plus longues entre deux entraînements intenses pour en tirer tous les bénéfices. Cela peut sembler un peu déroutant, mais cela signifie simplement que vos taux d’hormones n’ont pas encore atteint leur pic. Vous pouvez donc pratiquer des activités d’intensité modérée et des entraînements en aérobie, comme des runs à allure stable. Vous aurez peut-être l’impression de perdre en énergie, donc allez-y un peu plus en douceur et laissez-vous plus de temps pour récupérer. L’ONG internationale, qui défend les droits de l’homme dans le monde, dénonce ces pratiques instaurées par la Fédération internationale d’athlétisme, en totale contradiction avec les droits de l’homme.
Les hormones produites grâce au sport peuvent aider à lutter contre le stress, à améliorer la qualité du sommeil, à réduire le risque de maladies cardiovasculaires, etc. Tout comme la morphine, largement utilisée en médecine pour ses effets antalgiques dans les douleurs rebelles, les endorphines possèdent les mêmes propriétés. Elles agissent de façon identique en se fixant sur des récepteurs spécifiques qui bloquent la transmission des signaux douloureux et réduisent la sensation de douleur.
Sa libération est maximale lors d’efforts intenses, ce qui explique son importance dans les sports de force et de puissance. D’un autre côté, mentionnons que l’abus d’hormone de croissance est considéré comme du dopage et peut avoir des effets néfastes sur la santé. Avec tous les effets bénéfiques que la sécrétion d’endorphines apporte, les sportifs réguliers ont parfois le sentiment d’être accro à leur pratique. Cette dépendance n’est pas physique puisque les endorphines sont très vite détruites par les enzymes de l’organisme mais, en revanche, elle est psychologique.
L’IAAF maintient néanmoins l’existence d’un seuil maximal de testostérone autorisé chez les « dames » dans son nouveau règlement de 2018, et en abaisse même la valeur de moitié du 400 mètres au miles. “Le rire est l’un des actes qui libèrent de la sérotonine et des endorphines. Dans une juste mesure, prendre la vie avec humour n’est pas seulement drôle, mais réduit également le taux de cortisol et les substances anti-inflammatoires”, explique le Dr Mera, qui n’exclut pas le recours à des séances de thérapie par le rire. Sinon, regarder une comédie ou favoriser les relations sociales qui nous font du bien sont toujours des valeurs sûres.
On retrouve ici la norédraline pour expliquer l’amélioration ponctuelle de la mémoire. Faire quelques minutes d’exercices après avoir appris quelque chose permet de mieux retenir. Par ailleurs, plus le taux de sérotonine est élevé, plus on a d’énergie et une forte capacité de concentration.
Parmi eux, les plus connus sont les endorphines, la sérotonine et la dopamine. On les appelle souvent les hormones du bonheur, même si ce n’est pas tout à fait correct d’un point de vue scientifique. En tant que blogueur quadragénaire, je suis particulièrement attentif aux innovations médicales dans ce domaine. Les recherches récentes suggèrent que la pratique régulière d’une activité physique pourrait avoir un impact positif sur la régulation des hormones thyroïdiennes, essentielles au bon fonctionnement de notre métabolisme. Ce sont elles qui vous procurent un véritable sentiment de bien-être après une activité physique.